A Thousand Girls Like Me / CinéParadis / Chartres / 21 mai / 20 h.

Quand :
21 mai 2019 @ 20 h 00 min Europe/Paris Fuseau horaire
2019-05-21T20:00:00+02:00
2019-05-21T20:15:00+02:00
Où :
CHARTRES - Les Enfants du Paradis
Coût :
Tarif et réductions habituels
Contact :
Amnesty International Chartres

Logo lumineux Les Enfants du paradis

Amnesty Logo large

 

A Thousand Girls Like Me [Affiche française]

A Thousand Girls Like Me”

Un film de Sahra Mani (2018)

 

Présentation du documentaire

Sur les pentes des mon­tagnes mauves de Kaboul, où les cerfs-volants tour­noient au-des­sus des bazars, où règnent les croyances reli­gieuses, Khatera, 23 ans, enceinte de son second enfant, brise le silence. Abusée par son père depuis son jeune âge, elle décide de prendre la parole. Ces quelques mots prononcés à la télévision, devant des mil­lions de téléspectateurs, pro­voquent un séisme auprès des autorités poli­tiques. Face à elle c’est tout un pays qui se lève. Déterminée à faire valoir ses droits, elle sai­sit la jus­tice pour se défendre et faire recon­naitre son sta­tut de vic­time. Comment por­ter plainte et être enten­due ? Ce film coup de poing livre au jour le jour le com­bat d’une femme d’exception.

La bande annonce

Quelques avis sur le film

Télérama, Marie-Hélène Soenen

Un docu­men­taire exceptionnel.

Transfuge, Louis-David Texier

Exceptionnel à tous points de vue, le docu­men­taire de Sahra Mani repré­sente un véri­table tour de force ciné­ma­to­gra­phique et un chef‑d’œuvre du genre. Pudique, fidèle et enga­gé, tout en par­ve­nant à chaque ins­tant à conser­ver la bonne dis­tance avec son sujet.

aVoir-aLire.com, Mathilde Bujoli

Un petit brin de femme par­vient, juste en posant des mots, à faire trem­bler le sys­tème patriar­cal en Afghanistan, dans un docu­men­taire juste, qui, mal­gré les drames, se dis­tingue par son optimisme.

Les Fiches du Cinéma, Jef Costello

Le film suit pas à pas, avec tact et inten­si­té, le long che­min d’une jeune Afghane vers la recon­nais­sance de son sta­tut de vic­time dans une socié­té réti­cente et patriarcale.

Positif, Emmanuel Raspiengeas

Cette impli­ca­tion exem­plaire per­met ain­si à la docu­men­ta­riste de trans­for­mer l’ob­ses­sion de son héroïne en une force aus­si natu­relle et inexo­rable que les sai­sons se suc­cèdent avec indif­fé­rence au-des­sus de son mal­heur, et évite ain­si tout le pathos que son sujet pou­vait lais­ser craindre.