Jeune Bergère / Rex / Nogent-le-Rotrou / du 8 au 12 novembre

Quand :
8 novembre 2019 @ 20 h 00 min – 12 novembre 2019 @ 15 h 30 min Europe/Paris Fuseau horaire
2019-11-08T20:00:00+01:00
2019-11-12T15:30:00+01:00
Où :
NOGENT-LE-ROTROU - Cinéma REX
26 place du 11-Août
Coût :
7,80 € (hors réductions), le mercredi : 5,30 €
Contact :
Cinéma REX
02 37 52 12 24

 

Logo Rex Nogent-le-RotrouDans le cadre du fes­ti­val “La terre ferme”

Le ciné­ma LE REX de Nogent-le-Rotrou orga­nise, du 9 octobre au 3 décembre 2019, un fes­ti­val thé­ma­tique inti­tu­lé “La terre ferme” (pro­gramme com­plet en cli­quant ici).  Parmi la pro­gram­ma­tion, nous vous recom­man­dons le film pré­sen­té ci-après.

Logo ADEAR 28Jeune Bergère”

Un film de Delphine Détrie (2019)

Vendredi 8 NOVEMBRE à la séance de 20h, SYLVAIN DUREY, éle­veur ovins et bovins, culti­va­teur, et créa­teur de la ferme bio­lo­gique du Val Primbert au cœur du Perche, témoi­gne­ra sur l’installation des nou­veaux agri­cul­teurs.

 

En par­te­na­riat avec l’ADEAR 28 (Association pour le Développement de l’Emploi Agricole et Rural d’Eure-et-Loir) créée en 2018 par la Confédération Paysanne.

 

Résumé du documentaire

Stéphanie est une jeune mère céli­ba­taire. Parisienne d’origine, elle a tout quit­té pour réa­li­ser son rêve et vivre plus près de la nature. Installée en Normandie, au cœur des prés salés du Cotentin, elle se réin­vente en appre­nant le métier de ber­gère. À la tête de son trou­peau, elle découvre au quo­ti­dien les joies et les dif­fi­cul­tés de sa nou­velle vie rurale.

Consultez l’ho­raire des séances en sui­vant ce lien.

La bande annonce

 

Quelques avis sur le film

Les Fiches du Cinéma, Isabelle Boudet

Tout quit­ter pour s’installer à la cam­pagne et éle­ver des bre­bis ? Les soixante-hui­tards en rêvaient, Stéphanie Maubé l’a fait. Cette “jeune ber­gère” cha­ris­ma­tique est la star de ce por­trait ins­pi­ré, la tête un peu per­chée, les pieds dans la boue.

La Croix, Jean-Clément Martin Borella

Jeune Bergère est le récit de ces agri­cul­teurs novices oubliés, dési­reux de déve­lop­per une exploi­ta­tion à taille humaine, mais usés par les méandres admi­nis­tra­tifs. Par ce témoi­gnage, Stéphanie leur donne un visage.

Le Monde, Clarisse Fabre

Les prés du Cotentin appar­tiennent au domaine public mari­time et les dif­fé­rents trou­peaux coha­bitent en pâtu­rage col­lec­tif. Les renards rôdent… Mais l’essentiel est ailleurs : le but de Stéphanie Maubé est d’amener les bêtes à une qua­siau­to­no­mie, sur ces prés salés qui côtoient la Manche. Quitte à ne plus en revoir cer­taines. Ce rituel de la tra­ver­sée est l’une des plus belles scènes du film.

Télérama, Samuel Douhaire

À tra­vers ce por­trait admi­ra­tif, super­be­ment fil­mé dans les pay­sages ven­tés du Cotentin, se des­sine la contes­ta­tion d’un éle­vage pro­duc­ti­viste, qui péna­lise les exploi­ta­tions à taille humaine.