L’Établi / CinéParadis / Chartres / 3 mai / 19 h. 40

Quand :
3 mai 2023 @ 19 h 40 min Europe/Paris Fuseau horaire
2023-05-03T19:40:00+02:00
2023-05-03T19:55:00+02:00
Où :
CHARTRES - Les Enfants du Paradis
13 place de la Porte-Saint-Michel
Coût :
9,80 €, 5,70 € avec la carte Ciné-Clap
Contact :
Ciné-Clap / Les Enfants du Paradis
06 70 03 24 70

Logo lumineux Les Enfants du paradis

L'Établi [Affiche]

L’Établi”

Un film de Mathias Gokalp (2023)

en sa présence

 

Présentation du film

Quelques mois après mai 68, Robert, nor­ma­lien et mili­tant d’extrême-gauche, décide de se faire embau­cher chez Citroën en tant que tra­vailleur à la chaîne. Comme d’autres de ses cama­rades , il veut s’infiltrer en usine pour ravi­ver le feu révo­lu­tion­naire, mais la majo­ri­té des ouvriers ne veut plus entendre par­ler de poli­tique. Quand Citroën décide de se rem­bour­ser des accords de Grenelle en exi­geant des ouvriers qu’ils tra­vaillent 3 heures sup­plé­men­taires par semaine à titre gra­cieux, Robert et quelques autres entre­voient alors la pos­si­bi­li­té d’un mou­ve­ment social.

L’ETABLI est l’adaptation de l’illustre roman épo­nyme de Robert Linhart.

La bande annonce

Quelques avis sur le film

 

La Croix, Corinne Renou-Nativel

Cette pas­sion­nante adap­ta­tion du livre de Robert Linhart décrit le mou­ve­ment d’intellectuels immer­gés dans les usines à la fin des années 1960 et les ter­ribles condi­tions de tra­vail des ouvriers qu’ils viennent défendre.

Le Parisien

Un film à l’os, suite de por­traits cha­leu­reux, enga­gé mais très lucide sur ce qui sépare, les illu­sions, les erreurs, le désir de chan­ger le monde ou même de vie qui s’ensable dans un quo­ti­dien de fourmi.

CinemaTeaser, Emmanuelle Spadacenta

Le film cri­tique par contraste le déli­te­ment moderne de la soli­da­ri­té tout en réaf­fir­mant avec malice qu’on peut bien bri­ser un révo­lu­tion­naire, on ne bri­se­ra jamais vrai­ment la révolution.

Première, Thomas Baurez 

Mathias Gokalp (“Rien de per­son­nel” qui aus­cul­tait déjà les rouages du monde capi­ta­liste) filme avec minu­tie cet appren­tis­sage où les gestes dont la répé­ti­tion impres­sionne autant qu’elle ter­ri­fie, rem­placent la parole.