Une fois que tu sais / CinéParadis / Chartres / 2 décembre / 20 h.

Quand :
2 décembre 2021 @ 20 h 00 min Europe/Paris Fuseau horaire
2021-12-02T20:00:00+01:00
2021-12-02T20:15:00+01:00
Où :
CHARTRES - Les Enfants du Paradis
13 place de la porte Saint-Michel
Coût :
9,60 € (hors réductions]
Contact :
Les Enfants du Paradis
02 37 88 19 30

Logo lumineux Les Enfants du paradis

Génération_écologie_[logo]

 

Une fois que tu sais [Affiche]

Une fois que tu sais”

Un film de Emmanuel Cappellin (2021)

 

Présentation du documentaire

Confronté à la réa­li­té du chan­ge­ment cli­ma­tique et à l’é­pui­se­ment des res­sources, le réa­li­sa­teur Emmanuel Cappellin prend conscience qu’un effon­dre­ment de notre civi­li­sa­tion indus­trielle est inévi­table. Mais com­ment conti­nuer à vivre avec l’i­dée que l’a­ven­ture humaine puisse échouer ? En quête de réponses, il part à la ren­contre d’ex­perts et de scien­ti­fiques tels que Pablo Servigne, Jean-Marc Jancovici ou Susanne Moser. Tous appellent à une action col­lec­tive et soli­daire pour pré­pa­rer une tran­si­tion la plus humaine possible.

Une odys­sée qui touche à l’in­time et trans­forme notre regard sur nous-même et sur le monde pour mieux construire l’avenir.

 

Suivi d’un débat avec Delphine Batho (Génération Écologie), Pascal Dhuicq (Eure-et-Loir Nature), Bernard Cordier (Sykadap) et l’association Zero Waste Chartres.

La bande annonce

 

Quelques avis sur le film

 

Les Fiches du Cinéma, Margherita Gera

En mêlant intime et constat scien­ti­fique, Une fois que tu sais livre une réflexion pro­fonde sur l’effondrement de notre civi­li­sa­tion et appelle à l’action collective.

Positif, Éric Derobert

Il y a de la convic­tion, dans Une fois que tu sais, une belle pho­to­gra­phie, de la poé­sie par­fois un peu for­cée avec des enfants qui rient dans le soleil. On ne nomme pas trop ce qui fâche, le capi­ta­lisme par exemple, mais bon, on milite.

Télérama, Cécile Marchand Ménard

À la fin de ce voyage ini­tia­tique, l’espoir ne renaît pas for­cé­ment, mais le débat concer­nant une néces­saire adap­ta­tion indi­vi­duelle et col­lec­tive, plus inclu­sive et soli­daire, semble lancé.

Le Monde, Clarisse Fabre

Sorte de road movie intel­lec­tuel, qui cède par­fois aux images faciles, sur un plan émo­tion­nel, le film n’en est pas moins très ins­truc­tif sur l’état des réflexions et des pos­sibles amé­na­ge­ments à notre mode de vie que cer­tains qua­li­fie­raient de « train d’enfer ».