Calendrier
Le Collectif départemental pour une Paix juste et durable entre Israéliens et Palestiniens communique :
Appel pour la manifestation du 25 mai 2024 pour la paix en Palestine à Dreux
Dans un contexte où l'offensive israélienne se poursuit sur les populations civiles, à Gaza comme en Cisjordanie, faisant encore chaque jour des centaines de victimes, morts ou blessés, le lundi 20 mai 2024, le Procureur de la Cour Pénale Internationale, Karim Khan, a demandé aux juges de cette Cour d'émettre des mandats internationaux contre trois dirigeants du Hamas ainsi que contre le Premier Ministre israélien et le ministre israélien de la Défense pour des crimes de guerre et des crimes contre l'Humanité présumés.
Les réactions face à cette décision historique de la Cour Pénale Internationale laissent à penser qu'un espoir de justice et de paix et de libérations des otages et des prisonniers s'ouvrent. Il est cependant nécessaire de rester mobilisés afin que les conditions de la justice et de la paix se concrétisent.
La lutte du peuple palestinien continue pour un cessez-le-feu permanent, la reconnaissance du droit à un État, la fin de l'occupation israélienne de tous les territoires palestiniens, la libération des prisonniers politiques et le retour des exilés en Palestine.
Manifestation : Samedi 25 mai à 14 h. au Beffroi de Dreux
La poursuite des bombardements, y compris de camps de réfugiés, ordonnés par le gouvernement de Netanyahou sur Gaza, et en particulier Rafah et sa région, ont convaincu le Collectif départemental pour une Paix Juste et durable entre Palestiniens et israéliens d'appeler à une nouvelle manifestation à Dreux le samedi 1er juin à 11 h.
"It Must Be Heaven"
Un film de Elia Suleiman (2019)
Meilleure Coproduction internationale aux Lumières de la presse étrangère 2020
Mention spéciale du jury au Festival de Cannes 2020
Synopsis
Un cinéaste palestinien mal à l'aise dans son pays se met en tête de trouver une nouvelle terre d'accueil.Aavant de réaliser que son pays d'origine le suit toujours comme une ombre. La promesse d'une vie nouvelle se transforme vite en comédie de l'absurde. Aussi loin qu'il voyage, de Paris à New York, quelque chose lui rappelle sa patrie.
La bande annonce
Quelques avis sur le film
Ouest France par Gilles Kerdreux
Une sorte de poésie du silence, très pince-sans-rire et assez enthousiasmante où la dénonciation du sort des Palestiniens, dénuée de colère, est peut-être encore plus forte et efficace.
Les Fiches du Cinéma par Roland Hélié
Ici, le morceau de sparadrap dont, à l'image du capitaine Haddock, Elia Suleiman ne parvient pas à se défaire, c'est son propre pays, la Palestine. Il en résulte une absurde comédie de l'absurde, d'une magnifique et tendre mélancolie. Indispensable.
Sud Ouest par Sophie Avon
Comment ne pas être séduit par sa façon de saisir l'absurdité du monde à travers des vignettes elliptiques, des cadres millimétrés, et ce sens de la symétrie qui ordonne le chaos ?
L'Humanité par Magali Jauffret
Une brillante méditation sur l'inquiétante aggravation de l'état du monde.
Pour les élections européennes, notre site annoncera tous les événements publics des listes se réclamant de la gauche et de l'écologie. Il suffit de nous faire parvenir les informations à redaction@forum28.net
Réunion publique Lutte Ouvrière
le mercredi 5 juin à 20 h.
Forum de La Madeleine
CHARTRES
[caption id="attachment_25943" align="alignleft" width="196"] Vincent Chevrollier[/caption]
[caption id="attachment_25942" align="alignright" width="198"] Pascal Le Manach[/caption]
Les intervenants lors de cette réunion publique
avec leur présentation personnelle
Vincent CHEVROLLIER
Professeur des écoles
Eure-et-Loir
"Je m'appelle Vincent Chevrollier, j'habite Chartres et je suis professeur des écoles en Eure-et-Loir. Lorsque la loi immigration a été votée, j'ai tout de suite pensé aux gens auprès de qui je milite depuis des années dans les quartiers populaires de Chartres et d'ailleurs avec qui j'ai noué des liens fraternels. Dans ces quartiers, se côtoient des travailleurs de toutes origines, maliens, turcs, algériens, et il faudrait dresser des barrières entre nous. Contrairement à ce que disent les politiciens, de droite comme de gauche, de l'argent il y en a. C'est particulièrement visible dans notre région, dans les secteurs de la pharmacie et de la cosmétique, où les entreprises sont florissantes. Mais pour les travailleurs qui créent ces bénéfices, la réalité est tout autre. C'est la précarisation du travail, avec la généralisation des horaires en 3X8, en 5X8 et comme partout ailleurs, des salaires qui ne décollent pas. Quant au monde agricole, dans notre région, la Beauce, ce qui domine, ce ne sont pas les petits paysans étranglés par la dette, mais les grosses exploitations. En effet, ce sont elles qui bénéficient de l'essentiel des aides de la politique agricole commune. Et comme dans toute l'économie capitaliste, les assistés, ce sont les gros, et pas les travailleurs, les ouvriers agricoles ou les travailleurs de l'industrie agroalimentaire. Le capitalisme est en bout de course, il n'est pas réformable. La seule perspective, c'est l'union de tous les travailleurs pour gérer la société à leur compte en fonction de leurs besoins. Et bien, c'est pour défendre ces perspectives communistes et internationalistes que je suis candidat aux élections européennes sur la liste de Lutte Ouvrière."
Pascal LE MANACH
Électricien dans l'automobile
Seine-Maritime
"Je m'appelle Pascal Le Manach, j'habite à Oissel en Seine-Maritime, et j'y suis conseiller municipal Lutte ouvrière.
Je suis ouvrier, militant ouvrier dans une usine Renault à Cléon près de Rouen, une usine qui produit des moteurs.
Pendant très longtemps, nous avons produit des moteurs thermiques, et aujourd'hui nous produisons 3 moteurs électriques.
Et le patron du groupe Renault, De Meo, dit que les véhicules électriques c'est l'avenir !
Mais pas au niveau des conditions de travail ! Bien au contraire !
Les effectifs fondent à vue d'œil, les cadences, la productivité ne cessent d'augmenter !
Et selon la direction du groupe, la productivité va encore augmenter.
Les conditions de travail empirent, les jours de congé diminuent, les salaires sont quasiment bloqués depuis des années !
Aujourd'hui, les avertissements, les journées de mise à pied, les licenciements même, deviennent la règle. La direction veut que les travailleurs acceptent de baisser la tête !
Eh bien, nous ne baisserons pas la tête !
Le résultat de la politique patronale, c'est que les profits dégagés explosent. Les actionnaires du groupe Renault n'ont jamais gagné autant d'argent.
Tant que cette minorité de capitalistes, de grands patrons, seront à la tête des entreprises, tant qu'ils seront à la direction de la société, ils vivront grassement de notre travail !
Alors je milite pour que les travailleurs prennent directement la direction de la société, pour qu'on soit débarrassé à jamais de cette société d'exploitation !
Vive les travailleurs, vive le communisme !"
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Caravane de l'Union populaire
Réunion publique La France Insoumise
avec Jérôme Lagrave, député LFI
le vendredi 7 juin à 18 h. 30
DREUX - Les Bâtes - Boulevard de l'Europe
La Tondue de Chartres et Robert Capa, destins croisés
Samedi 8 juin 2024, dans le cadre de la commémoration des quatre-vingts ans de la Libération en Eure-et-Loir, Gérard Leray fera une intervention historique sur la tondue de Chartres immortalisée par le photographe de guerre Robert Capa.
Maison des associations à Gasville-Oisème, à 14 heures. Entrée libre.
La laïcité en France, depuis la fin du XIXe siècle, fait l'objet de nombreuses interprétations.
Gwénaële Calvès propose de l'aborder sous le prisme de quatre grands principes : la liberté de conscience qui serait « la clé de voûte de la construction laïque », la séparation du politique et du religieux, l'égalité « sans distinction de religion » et la neutralité confessionnelle des personnes publiques.
Au sortir de la conférence, chacun pourra se forger sa propre opinion.
Gwénaële Calvès est professeur de droit public à l'université de Cergy-Pontoise. Elle travaille sur le thème des discriminations, de la liberté d'expression et de la laïcité.
Alors qu'Israël poursuit la destruction de la bande de Gaza et, sourd à toute demande de cessez-le-feu, continue de massacrer les civils, tuant indistinctement hommes, femmes et enfants, le Collectif départemental pour une pais juste et durable entre Palestiniens et Israéliens a décidé d'une nouvelle manifestation, cette fois à Chartres, après la manifestation de samedi dernier à Dreux.
Le syndicat Solidaires vient de rejoindre le Collectif rassemblé sur la base de son deuxième appel remontant à la fin mars.
Le fait nouveau dans la mobilisation départementale est la convergence avec un appel de lycéens [affiche ci-dessous] émanant de divers établissements de l'agglomération chartraine. Un rassemblement avait été organisé le 30 mai devant le lycée Jehan-de-Beauce.
Soyons nombreux ce samedi pour montrer notre détermination à obtenir un cessez-le-feu et à voir s'engager un processus de négociation vers une solution pérenne à cette injustice faite au peuple palestinien depuis 75 ans.
Contre le musellement de voix engagées sur le conflit israélo-palestinien et face à la gravité des atteintes aux libertés publiques, un large collectif de personnalités, syndicats et d'associations (où l'on retrouve le Syndicat de la Magistrature, la LDH, le GISTI, la CGT ou encore le Planning familial) dénonce « une limitation inacceptable du pluralisme démocratique ».
Contre une démocratie bâillonnée, défendons les libertés publiques
Ces derniers jours ont été marqués par une nette aggravation des atteintes à la liberté syndicale, aux libertés d'expression et de manifestation. L'accumulation convergente de divers moyens de répression et d'intimidation contre des acteurs du débat public, en raison de leur positionnement sur les termes du conflit israélo-palestinien, constitue une limitation inacceptable du pluralisme démocratique.
Après l'appel à interdiction systématique des « manifestations pro-palestiniennes » lancé par Gérald Darmanin à l'automne 2023, immédiatement recadré par le Conseil d'État, des centaines d'amendes et de nombreux placements en garde à vue ont été décidés, notamment à l'encontre de personnes racisées.
Les atteintes aux libertés ont désormais franchi de nouveaux caps : l'interdiction administrative - finalement suspendue - de la marche du 21 avril 2024 et l'interdiction par arrêté préfectoral, notamment pour risque de « trouble à l'ordre public » d'une conférence organisée par l'association Libre Palestine ».
À ces interdictions s'ajoutent les convocations par les services de police de l'une de ses intervenantes, par ailleurs candidate aux élections européennes ainsi que d'une présidente de groupe parlementaire, lesquelles interviennent après l'ouverture de plusieurs autres enquêtes judiciaires contre des militant•es, membres d'organisations syndicales (CGT, Solidaires, Sud Rail, Sud Aérien) et politiques pour des faits d'apologie du terrorisme.
Dans ce contexte, nous exprimons notre plus vive préoccupation devant des interprétations extensives et aléatoires du délit d'apologie du terrorisme et de la notion d' « ordre public », ayant pour objet ou pour effet d'intimider lourdement des militants associatifs, syndicaux ou politiques.
Nous tenons ainsi à alerter l'ensemble des acteurs institutionnels concernés, de même que l'opinion publique, quant à l'existence de mécanismes de procédures bâillons ayant pour conséquence, in fine, l'éviction de certain•es militant•es associatifs, syndicaux ou politiques du débat public.
L'accumulation de décisions de ce type de la part des autorités administratives, policières et judiciaires s'inscrit dans un mouvement plus large qui tend à réprimer des formes toujours plus diversifiées de contestation sociale ou politique. Ces tentatives d'intimidation se font au demeurant à l'aide d'outils juridiques toujours plus nombreux (interdictions de manifester, gardes-à-vue préventives, tentatives de dissolutions ou retraits d'agrément ou de subventions d'associations, etc.). Leur dévoiement est d'ailleurs dénoncé par l'ONU, le Conseil de l'Europe, le Défenseur des droits et les organisations de défense des droits humains.
Les moyens préventifs, coercitifs et répressifs ne doivent pas servir à orienter ou restreindre le débat public. Nous appelons l'ensemble des magistrat•es à redoubler de vigilance afin de ne pas réduire la justice à un outil de censure du débat démocratique, alors qu'elle est censée être le dernier rempart des libertés publiques et individuelles.
Nous réaffirmons son rôle fondamental de contrôle du respect des garanties prévues par le code de procédure pénale et par la Convention européenne des droits de l'Homme, spécifiquement lorsqu'il est fait recours à des mesures privatives de liberté telles que la garde-à-vue. Le principe d'interprétation stricte de la loi pénale commande aux magistrat•es de se prémunir contre toute interprétation extensive des textes d'incriminations de ces infractions.
Nous exprimons, par suite, notre attachement à une conception ouverte et équilibrée de la liberté d'expression et de contestation en démocratie, constitutionnellement protégées.
Premier·es signataires
Patrick Baudouin, président de la Ligue des droits de l'homme (LDH)
Sophie Binet, secrétaire générale de la Confédération Générale du Travail (CGT)
Fatima-Ezzahra Benomar, présidente de Coudes à Coudes
Murielle Guilbert, déléguée générale d'Union syndicale Solidaires
Judith Krivine, présidente du Syndicat des avocats de France (SAF)
Kim Reuflet, présidente du Syndicat de la magistrature (SM)
Benoit Teste, secrétaire général de la Fédération Syndicale Unitaire (FSU)
Marie-Pierre Vieu-Martin, co-présidente de la Fondation Copernic
Youlie Yamamoto, porte-parole d'Attac France.
Rejoint·e·s par
Arié Alimi, avocat et auteur
Amal Bentounsi, Collectif marche du 21 avril
Farid Bennaï, militant Front uni, des immigration et des quartiers populaires
Wiam Berhouma, militante anti-raciste, maire adjointe de Noisy-le-Sec
Claire Bornais secrétaire national de la FSU
Svadphaiphane Boulomsouk, artiste
Youcef Brakni, membre de l'Assemblée des quartiers populaires
Aliti Burhan, AIR
Claude Calame, historien EHESS, Paris, membre Conseil Scientifique d'ATTAC et LDH
Laurence de Cock, essayiste et historienne
Mouhieddine Cherbib, comité pour le respect des libertés et des droits de l'homme en Tunisie
Vanessa Codaccioni, professeure des universités
Laurence Cohen, ancienne sénatrice
David Dufresne, écrivain, réalisateur, Au poste
Françoise Davis, réalisatrice
Nacer El Idrissi, Association des Travailleurs Maghrébins de France
Jean-Baptiste Eyraud, Droit au logement (DAL)
Delahaye Gérard, Fondation Copernic
Michelle Guerci, journaliste, militante féministe antiraciste
Magi Irving, Le Média
Pierre Jacquemain, journaliste
Raphaël Kempf, avocat
Pierre Khalfa, économiste, Fondation Copernic
Fadi Kassem, Pôle de Renaissance communiste en France
Lisa Lap, Le Média
Léna Lazare, membre des Soulèvements de la terre
Olivier Le Cour Grandmaison, universitaire
Claire Le Strat, politiste, CoudeS à CoudeS
Carlos Lopez, membre du CDFN de la FSU
Frédéric Lordon, philosophe et économiste
Caroline Mecary, Fondation Copernic
Jean Malifaud, Fondation Copernic
Christian Martinez Perez, CGT, sociologue
Bertrand Mertz, avocat
Ugo Palheta, MCF à l'Université de Lille
Lisa Noyal, journaliste indépendante
Dominique Paturel, PEPS
Willy Pelletier, sociologue
Pablo Pillaud-Vivien, Regards
Edwy Plenel, journaliste (Mediapart)
Juliette Polya-Somogyi, co-fondatrice de ODED 32 (Observatoire des Extrêmes Droites (Gers)
Raymonde Poncet, EÉLV Les Écologistes
Lorraine Questiaux, avocate
Lana Sadeq, Forum Palestine Citoyenneté
Éléonore Schmitt, Union étudiante
Laurent Sorel, conseiller de Paris FI
Karel Talali, Union Étudiante
Stéphane Tassel, secrétaire national FSU
Anne Tuaillon, présidente de l'AFPS
Louis Weber, Les Editions du Croquant
Pedro Vianna, poète, homme de théâtre.
Soutenu·e·s par
Syndicats
CGT Interieur-Police
Fédération Syndicale Étudiante (FSE)
Union syndicale de la psychiatrie (USP)
Union syndicale des étudiants de France (UNEF)
Union Syndicale Lycéenne
Union étudiante
Syndicat National des Personnels de l'Education et du Social, SNPES-PJJ/FSU
Syndicat national de l'enseignement supérieur, SNESUP-FSU.
Associations et collectifs
Action Justice Climat Paris
Assemblée Citoyenne des Originaires de Turquie (ACORT)
Association des Marocains de France (AMF)
Association féministe Apel-Égalité
Association France Palestine Solidarité (AFPS)
Collectif marche du 21 avril
Comité de soutien à Hanane Ameqrane
Coordination des comités de défense des quartiers populaires
Collectif national pour les droits des femmes (CNDF)
Droit au logement (DAL)
Emmaus Roya
Embrase le monde
Femmes Egalité
Generation.s 46
Greenpeace
Groupe d'information et de soutien des immigré·es (GISTI)
Institut de recherche de la FSU (IR-FSU)
Les Effronté·es
Fédération des Associations de Solidarité avec Tou-te-s les Immigré-e-s -FASTI
La Cimade
Le mouvement de la paix
Le Planning familial
Le Paria La Relève Féministe
Marche féministe antiraciste
Mouvement contre le Racisme et pour l'Amitié entre les Peuples (MRAP)
Nos Révolutions
Pôle de Renaissance communiste en France
Réseau d'Actions contre l'Antisémitisme et tous les Racismes (RAAR)
Roya citoyenne
Riposte Alimentaire
Vivre Ensemble Solidaires en Métropole Tourangelle (VESEMT 37)
RED Jeunes
Union juive française pour la paix (UJFP)
Utopia 56.
Organisations politiques
Ensemble!
La France insoumise (LFI)
Le Parti socialiste (PS)
Les Écologistes
Gauche écosocialiste (GES)
Gauche démocratique et sociale (GDS)
Parti communiste français (PCF)
Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF)
Parti de Gauche (PG)
Parti Ouvrier Indépendant (POI)
Pour une Ecologie Populaire et Sociale (PEPS)
Révolution Écologique pour le Vivant (REV)
Nouveau parti anticapitaliste (NPA)
Union Communiste Libertaire (UCL).
Pour plus d'information sur cette remarquable création artistique, nous vous renvoyons à notre compte rendu de visite.
Voici l'appel départemental intersyndical à manifester ce samedi 15 juin.
Une urgence : battre l'extrême-droite et exiger la satisfaction de nos revendications sociales… car les deux vont de pair :
- l'extrême-droite est une imposture sociale
- le refus des différents gouvernements d'entendre nos revendications sociales est le terreau de la montée de l'extrême-droite…
Les images du Rwanda d'aujourd'hui sont investies par les souvenirs des détenues. C'est l'histoire du génocide qui s'écrit à travers elles et nous aide à comprendre comment des femmes « ordinaires » ont rejoint les rangs des tueurs.
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Biographie de la réalisatrice et du réalisateur
Après un cursus universitaire en philosophie et en sociologie, Alexandre Westphal étudie les métiers du documentaire en 2009 à l'université Paris 7. Il y fait la connaissance de Violaine Baraduc, avec laquelle il écrit et réalise À mots couverts, son premier long métrage documentaire. Travaillant par ailleurs comme monteur (fiction et documentaire), il a depuis réalisé deux films : : Ciriaco ou l'étroit chemin du retour et L'Écrivain et son double. Ses trois films témoignent de l'intérêt qu'il porte aux questions relatives à la mémoire, à l'histoire, aux assignations identitaires, et à la formalisation d'un récit.
Docteure en anthropologie sociale et visuelle, Violaine Baraduc a consacré sa thèse à l'implication des femmes dans le génocide commis contre les Tutsi rwandais. Son travail se construit autour des mêmes thèmes et préoccupations qu'Alexandre. Elle avait réalisé son premier film sur une jeune burkinabè cherchant à s'émanciper des contraintes pesant sur les femmes nées dans des familles rurales et conservatrices en allant se faire engager comme bonnes dans les familles de la capitale, au risque de s'éloigner de leurs traditions et de leur identité ethnique, religieuse ou régionale (Ouaga, c'est pas forcé !).
Dans leurs projets respectifs, Alexandre et Violaine interrogent la mémoire et la multiplicité des récits possibles pour un seul et même événement. Mais deux thèmes se dégagent systématiquement : les transformations de la société observée et les ressources dont disposent leurs personnages ou interlocuteurs pour s'y adapter. Ils démarrent actuellement un nouveau film sur le retour des femmes génocidaires rwandaises à la communauté, provisoirement intitulé Les Voisines.
Depuis janvier 2022, 47 collectifs en lutte contre des projets routiers se sont rassemblés au sein de la coalition La Déroute des routes. Ils ont uni leurs forces pour résister face à ces projets destructeurs qui enfermeraient toujours plus dans le modèle du tout routier. 70 projets routiers sont actuellement contestés, partout en France, par des collectifs citoyens et des associations. En Eure-&-Loir, une mobilisation festive est prévue le 21 juin avec des jeux pour tous et des roues sans moteur pour réapprivoiser le bitume autrement. Et parallèlement : musique avec un DJ, nombreux débats sur les enjeux climatiques et socioéconomiques. C'est un combat pour préserver notre eau, la qualité de notre terre et de notre air, nos surfaces agricoles garantes de notre autonomie alimentaire, notre qualité de vie dans nos villages mais aussi sur cette terre, et notre pouvoir d'achat.
Un moratoire pour dire stop aux projets routiers destructeurs : Signez la pétition !
Dernière minute - Communiqué du collectif
Notre Collectif Non A154 A120 qui a dépassé les 12 000 signatures sur Greenvoice et fait partie du programme de la mobilisation « l'Après Route » cette semaine un peu partout en France organise sa
« Fête de la Musique CONTRE l'autoroute A154 A120 » ce vendredi 21 Juin 2024 dès 17 heures, au Boullay-Mivoye, dernière propriété agricole sur la droite en sortie du village, en direction de Dreux Nous ferons cette fête de la musique contre l'autoroute chez l'un de nos agriculteurs au Boullay-Mivoye, avec : - des jeux en musique pour commencer, - puis suivra un débat vers 19 heures auquel la plupart des candidats aux législatives pour les circonscriptions 1 et 2 du 28 on été conviés - et enfin un verre de l'amitié avec des grillades Ce débat sera le moment fort de cette mobilisation et nous tient beaucoup à cœur sur l'ensemble des thématiques aussi bien socio-économiques que écologiques et environnementales qui sont derrière ces projets d'autoroute dans toute la France et celui-ci en particulier.
Depuis plus d'un an nous attendons de savoir si le ministère des transports va abandonner le projet ou pas, et nous aimerions bien y voir plus clair avant de nous rendre aux urnes le 30 Juin prochain.
Nous avons invité la presse locale qui sera présente, Reporterre, l'AFP et France 3.
Il est important que nous puissions montrer à notre préfecture que nous sommes tous solidaires, agriculteurs, écologistes, hommes et femmes de tous bords et de toutes générations ou CSP, pour empêcher l état de brader nos nationales à un concessionnaire privé ce qui n aurait que des conséquences désastreuses aussi bien sur le plan financier que environnemental pour les euréliens, et que nous faisons tous front ensemble !
Venez nombreux avec votre bonne humeur et si vous le pouvez, des bricoles à grignoter et à boire. A CE SOIR
NB : On pourra stationner facilement et être assis, et même à l' abri au sec dans un grand hangar agricole si il pleut.