Bienveillance paysanne / Les Enfants du Paradis / Chartres / 6 novembre / 20 h.

Quand :
6 novembre 2024 @ 20 h 00 min Europe/Paris Fuseau horaire
2024-11-06T20:00:00+01:00
2024-11-06T20:15:00+01:00
Où :
CHARTRES - Les Enfants du Paradis
13 place de la Porte-Saint-Michel
Coût :
Gratuit pour les moins de 25 ans
Contact :
Les Enfants du Paradis
02 37 88 19 30

Logo lumineux Les Enfants du paradis

Festisol 2024 [Bandeau 2]

Logo AlimenTERRE

Bienveillance paysanne [Affiche]

Bienveillance pay­sanne”

Un film de Oliver Dickinson (2023)

 

Présentation du documentaire

Algues vertes, gaz à effet de serre, défo­res­ta­tion, recul de la bio­di­ver­si­té, réchauf­fe­ment cli­ma­tique… Et tant d’autres maux impu­tés à l’élevage ! L’animal de ferme, notre bien­fai­teur nour­ri­cier, serait-il deve­nu l’ennemi numé­ro 1 de la vie sur terre ? Le docu­men­ta­riste Oliver Dickinson a vou­lu le véri­fier en par­cou­rant la France à la ren­contre d’éleveurs et d’éleveuses adeptes de pra­tiques ver­tueuses. Ils et elles ont choi­si de replan­ter les arbres et de déve­lop­per d’ingénieuses col­la­bo­ra­tions ani­males pour lais­ser une empreinte plus douce et contri­buer à la sau­ve­garde de notre planète.

 

La bande annonce

 

L’avis du comi­té de sélec­tion du fes­ti­val Alimenterre

 

Oliver Dickinson, réalisateur britannique

Oliver Dickinson

Ce film est un bel hom­mage au métier de pay­san et de pay­sanne. A tra­vers dif­fé­rents exemples fran­çais d’élevages res­pec­tueux du vivant, il montre l’importance des ani­maux dans l’équilibre des éco­sys­tèmes, la pré­ser­va­tion des sols, et les rela­tions entre bio­di­ver­si­té sau­vage et bio­di­ver­si­té culti­vée. L’intention, clai­re­ment annon­cée au début du film, est de mettre en avant des alter­na­tives concrètes au modèle agri­cole domi­nant, afin de pro­mou­voir une agri­cul­ture plus res­pec­tueuse de l’environnement, des bêtes et des humains. Circuits courts, agro­fo­res­te­rie, pas­sage en bio, agri­cul­ture durable, sont les thé­ma­tiques abor­dées. Ce docu­men­taire per­met d’ouvrir les débats sur la ques­tion de l’élevage, ici et ailleurs : pro­blème ou solu­tion face à l’érosion de la bio­di­ver­si­té, au chan­ge­ment cli­ma­tique et à la déser­ti­fi­ca­tion ? Le mes­sage est posi­tif et laisse entendre qu’il est pos­sible de pro­duire différemment.