Arcadia Environmental Film Festival / CinéParadis-distanciel / 10 — 16 mars

Quand :
10 mars 2021 @ 20 h 00 min – 16 mars 2021 @ 22 h 00 min Europe/Paris Fuseau horaire
2021-03-10T20:00:00+01:00
2021-03-16T22:00:00+01:00
Où :
25e heure
Salle virtuelle
Coût :
6 €
Contact :
Chartres Les Enfants du Paradis

Logo lumineux Les Enfants du paradis

 

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Désobéissant·e·s [Affiche]Désobéissant·e·s

  • France | 2019 | 85 minutes
  • Un film de Alizée Chiappini, Adèle Flaux

Après un été 2018 mar­qué par la cani­cule, les incen­dies et la démis­sion fra­cas­sante de Nicolas Hulot, un groupe de jeunes gens, affo­lés par l’i­nac­tion des gou­ver­ne­ments face à la crise cli­ma­tique, décide d’u­nir ses forces. Un QG, La Base, est loué en plein Paris. En germe depuis la COP21, une inter­na­tio­nale infor­melle du cli­mat relie dif­fé­rents mou­ve­ments de contes­ta­tion euro­péens : Extinction Rebellion, Ende Gelände, Alternatiba, ANV-COP21. Après une pre­mière vic­toire – la péti­tion bap­ti­sée L’Affaire du siècle et ses 2 mil­lions de signa­tures en quinze jours –, les acti­vistes de La Base orga­nisent 134 décro­chages de por­traits d’Emmanuel Macron dans les mai­ries. C’est leur pre­mière grande action de déso­béis­sance civile.

Welcome to SodomWelcome to Sodom [Affiche]

  • Autriche | 2018 | 92 minutes
  • Un film de Christian Krönes, Florian Weigensamer

Sodom est comme un monstre. “Parfois tu tues le monstre, par­fois c’est le monstre qui te tue.” À Accra, Agbogbloshie est l’un des endroits les plus toxiques sur terre. C’est la plus grande décharge élec­tro­nique au monde. Près de 6.000 femmes, hommes et enfants tra­vaillent et vivent ici. Ils l’ap­pellent “Sodom”. Chaque année, près de 250.000 tonnes d’or­di­na­teurs, smart­phones, cli­ma­ti­seurs et autres appa­reils usa­gers d’un monde élec­tri­sé et numé­rique loin­tain abou­tissent ici. Expédiés au Ghana en toute illégalité.

 

 

EmpathieEmpathie [Affiche]

  • Espagne | 2017 | 75 minutes
  • Un film de Ed Antoja

Ed est char­gé de réa­li­ser un docu­men­taire pour ten­ter de chan­ger les mœurs de la socié­té qui portent pré­ju­dice aux ani­maux. Ed n’est pas, au départ, un ardent défen­seur de la cause ani­male. Il doit donc d’a­bord cher­cher à se convaincre pour par­ve­nir ensuite à sen­si­bi­li­ser le public.
Le simple pro­ces­sus de docu­men­ta­tion, la réa­li­sa­tion du docu­men­taire ain­si que les échanges avec Jenny, la col­la­bo­ra­trice de la fon­da­tion qui lui demande ce film, lui per­met­tront de ques­tion­ner ses doutes et de cher­cher des réponses pour adop­ter un mode de vie plus res­pec­tueux animaux.
Cette plon­gée dans le monde de la cause ani­male lui fera remettre en ques­tion ses habi­tudes ali­men­taires, ves­ti­men­taires, les pro­duits qu’il consomme, mais aus­si ses loi­sirs, et entrer en confron­ta­tion avec son entou­rage proche : famille, amis et col­lègues de travail.
Ce pro­jet trans­for­me­ra son mode de vie pour tou­jours… Ou pas !

 

 

Thank You for the Rain Thank You forthe Rain [Affiche]

  • Norvège, Royaume-Uni | 2017 | 87 minutes
  • Un film de Julia Dahr

Il y a cinq ans, le fer­mier kenyan Kisilu Musya a com­men­cé à fil­mer sa famille, son vil­lage, les inon­da­tions, les séche­resses et les orages et c’est l’impact du chan­ge­ment cli­ma­tique qu’il docu­mente. Lorsque la mai­son de Kisilu est détruite par une tem­pête, le cinéaste auto­di­dacte décide de lan­cer un mou­ve­ment d’agriculteurs soli­daires et appelle à l’action. La lutte de Kisilu le mène­ra à Paris pour la COP21, où il va se confron­ter à l’inertie, la bureau­cra­tie et l’arrogance. Thank You for the Rain est l’his­toire cap­ti­vante d’un opti­miste infa­ti­gable, qui teste les limites de la lutte pour un monde plus vert.

Programme Ciné Environnement [Pavé modalités]

Sea-Watch 3SeaWatch 3 [Affiche]

Réalisat/rice/eur : Nadia Kailouli et Jonas Schreijäg
2019 // 1h52

Pays : RFA, Italie

Prix spé­cial – One World Festival

Arrêtée après avoir ame­né des réfu­giés à terre – Carola Rackete a fait la une des jour­naux inter­na­tio­naux lorsqu’elle a amar­ré le navire de sau­ve­tage “Sea-Watch 3” sans auto­ri­sa­tion en Italie. Mais que s’est-il pas­sé avant ? Deux cinéastes ont fil­mé ce moment dra­ma­tique de l’histoire contem­po­raine qui remet en ques­tion les poli­tiques migra­toires euro­péennes. Ils ont fil­mé l’équipage sau­vant 53 per­sonnes, la police ita­lienne mon­tant à bord au milieu de la nuit et – sur­tout – ils ont écou­té les hor­reurs aux­quelles les réfu­giés avaient échappé.

 

 

 

The Magnitude of All ThingsThe-magnitude-of-all-things [Affiche]

  • Pays : Canada
  • Année : 2020

Réalisatrice : Jennifer Abbott

Partout le chan­ge­ment cli­ma­tique se fait sen­tir, la bio­di­ver­si­té chute, les pay­sages changent de façon irré­ver­sible. Dans ce docu­men­taire ample et foi­son­nant, Jennifer Abbott lie l’expérience de la perte à l’échelle intime, avec la mala­die et le décès de sa propre sœur, au sen­ti­ment de deuil et d’injustice qu’éprouvent ceux qui voient déjà dis­pa­raître leur lieu de vie. Elle laisse la parole aux pre­miers et aux plus vio­lem­ment tou­chés : des Autochtones du Nunatsiavut à l’archipel des Kiribati en pas­sant par l’Amazonie ou la Tasmanie, ain­si qu’à d’autres mili­tants, par­mi la jeu­nesse ou les rangs d’Extinction Rebellion. De cette fresque poly­pho­nique, por­tée par des images à cou­per le souffle, émerge une nou­velle façon de per­ce­voir notre monde, et un vent d’espoir et de révolte.

 

 

Made in Bangladesh [Affiche]Made in Bangladesh

Pays : Bangladesh

Année : 2019

Réalisateur : Rubaiyat Hossain

Shimu, 23 ans, tra­vaille dans une usine tex­tile à Dacca, au Bangladesh. Face à des condi­tions de tra­vail de plus en plus dures, elle décide avec ses col­lègues de mon­ter un syn­di­cat, mal­gré les menaces de la direc­tion et le désac­cord de son mari. Ensemble, elles iront jusqu’au bout.