Marioupol, l’espoir n’est pas perdu / CinéParadis / Chartres / 26 mars / 18 h. 30
13 place de la Porte-Saint-Michel
“Marioupol, l’espoir n’est pas perdu”
Un film de Maksym Lytvynov (2022)
Après la projection , débat avec Olga Sansone, Ukrainienne installée en France depuis vingt ans, et Stéphane Dalmat, co-coordinateur de la diffusion du film en France
Présentation du documentaire
Marioupol. L’espoir n’est pas perdu est un témoignage sur la guerre russo-ukrainienne des gens ordinaires qui ont vécu à Marioupol pendant le premier mois de l’invasion.
Le documentaire est basé sur les notes de la journaliste de Marioupol Nadiya Sukhorukova : elle a décrit ce qu’elle a vu autour d’elle pendant les bombardements.
“Ce qui m’impressionne le plus dans cette histoire, déclare Maksym (Max) Lytvynov, le réalisateur du film, c’est que Nadiya est une personne très gentille et juste. Et mon objectif était de la montrer comme telle, face à l’obscurité qui l’entoure du fait de cette guerre brutale”.
La bande annonce
Chartres Initiatives (association d’entrepreneurs locaux) présente cette séance :
À l’occasion de ce triste anniversaire de l’invasion de l’Ukraine (février 2022 — février 2024), nous vous proposons la projection/débat du film documentaire : “Marioupol, l’espoir n’est pas perdu ».
Ce film réalisé par OUP Documentary — collectif de professionnels ukrainiens — présente la réalité des faits tel que la population locale l’a vécue. Le scénario a été écrit sur la base des notes de la journaliste Nadiya Sukhorukova, habitante de Marioupol, et filmé par des cameramen restés sur place juste avant la prise complète de la ville.
C’est le témoignage d’une destruction méthodique de la cité et de la difficulté de vie des civils souhaitant échapper aux bombardements. Sans tomber dans le pathos, ce film raconte l’histoire d’une ville où tout, sauf l’espoir, a été détruit.
« C’est ce qui m’impressionne le plus dans cette histoire”, déclare le réalisateur du film, Maxim Litvynov. “Nadiya est une personne très gentille et juste, et mon objectif était de la montrer comme telle, face à l’obscurité qui l’entoure du fait de cette guerre brutale ».
Un « film artistique » explique Stéphane Dalmat, « Max Lytvynov ayant intégré un tableau qui, au fil du documentaire, évolue en termes de colorimétrie, au fur et à mesure de l’évolution de la dramaturgie de la narration et de l’avancée du siège de Marioupol. »