Yallah Gaza / CinéCentre / Dreux / 11 octobre / 20 h.

Quand :
11 octobre 2024 @ 20 h 00 min Europe/Paris Fuseau horaire
2024-10-11T20:00:00+02:00
2024-10-11T20:15:00+02:00
Où :
DREUX - CinéCentre
5 place du Champ-de-Foire
Coût :
9,90 € (hors tarifs réduits)
Contact :
Association France Palestine Solidarité Pays de Dreux

Logo Ciné Centre Dreux

AFPS Pays de Dreux [logo]

 

 

Yallah Gaza”

Un film de Roland Nurier (2023)
En pré­sence du réalisateur

 

Résumé du documentaire :

Yallah Gaza [Roland Nurier et Ken Loach]

Roland Nurier et Ken Loach

Gaza est un petit ter­ri­toire pales­ti­nien de 40 km x 12 km où vivent plus de 2 mil­lions de per­sonnes. La popu­la­tion est com­plè­te­ment enfer­mée depuis 2007 par Israël et régu­liè­re­ment bom­bar­dée au mépris de toutes les règles de Droit International et conven­tions des Nations Unies. La socié­té y est encore struc­tu­rée et orga­ni­sée mais pour com­bien de temps ? Les nom­breux témoi­gnages des Palestiniens de Gaza sont mis en pers­pec­tive avec les ana­lyses de res­pon­sables poli­tiques locaux, d’historiens, de jour­na­listes, d’Israéliens, de juristes spé­cia­listes de Palestine/Israël. Les gazaoui-e‑s parlent de leur quo­ti­dien, de géo­po­li­tique, de reli­gion, de sio­nisme, de droit inter­na­tio­nal, bref de tous les élé­ments néces­saires à la com­pré­hen­sion du vécu de cette socié­té pales­ti­nienne et de son envi­ron­ne­ment si anxio­gène. Appréhender leur rési­lience pour que le déses­poir ne s’installe pas et com­prendre com­ment se trans­met de géné­ra­tion en géné­ra­tion cette flamme de la culture et de la terre ?

La bande annonce

 

 

Deux avis sur le film

 

La Croix par Corinne Renou-Nativel

Au-delà des ana­lyses d’historiens, de res­pon­sables poli­tiques locaux, de jour­na­listes et de juristes, le docu­men­taire sai­sit le quo­ti­dien à Gaza où un habi­tant sur deux a moins de 20 ans. C’est cette jeu­nesse, avec sa soif de vie et de paix, qui émeut le plus.

 

Télérama par Pauline Demange-Dilasser

La forme est aus­tère — heu­reu­se­ment entre­cou­pée de courtes res­pi­ra­tions conçues comme des « cartes pos­tales » de la vie dans l’enclave — mais le fond est aus­si pas­sion­nant que par­ti­san, don­nant l’occasion d’entendre des voix à contre-cou­rant du « nar­ra­tif » israélien.