Hotel Salvation / Soirée-Débat Soins palliatifs / CinéParadis / Chartres / 18 octobre / 19 h. 30

Quand :
18 octobre 2018 @ 19 h 30 min Europe/Paris Fuseau horaire
2018-10-18T19:30:00+02:00
2018-10-18T19:45:00+02:00
Où :
CHARTRES - Les Enfants du Paradis
Coût :
Gratuit
Contact :
JALMALV 28
06 26 80 28 81

Logo lumineux Les Enfants du paradis

Logo Jalmalv28

 

Hotel Salvation”

Un film de Shubhashish Bhutiani (2017)

 Suivi d’un débat à l’oc­ca­sion de la Journée mon­diale des Soins palliatifs

Présentation du film

Daya, un vieil homme, sent que son heure est venue et sou­haite se rendre à Varanasi (Bénarès), au bord du Gange, dans l’espoir d’y mou­rir et atteindre le salut. A contre­coeur, son fils Rajiv l’accompagne, lais­sant der­rière lui son tra­vail, sa femme et sa fille.
Arrivés dans la ville sainte, les deux hommes louent une chambre à l’Hôtel Salvation, un endroit réser­vé aux per­sonnes en fin de vie. Mais le temps passe et Daya ne montre pas de signe de fatigue. Or le direc­teur de l’établissement a été for­mel : au bout de quinze jours, ils devront lais­ser la place aux nou­veaux arri­vants. Cette attente inopi­née est enfin l’occasion pour le père et son fils de se connaître et de se comprendre.

 

La bande annonce

Quelques avis sur le film

 

L’Humanité par Dominique Widemann

La touche du jeune cinéaste indien est d’une incroyable légè­re­té qui lui per­met d’aborder des thèmes dif­fi­ciles. Il exprime ses choix avec calme quand toutes les émo­tions pro­fondes sont en mouvement.

Positif par Philippe Niel

Cette pre­mière fic­tion d’un réa­li­sa­teur indien réus­sit à abor­der sur un mode à la fois bur­lesque et pro­fond deux pré­oc­cu­pa­tions uni­ver­selles et étroi­te­ment imbri­quées : la fin de vie et le conflit des générations.

Le Monde par Thomas Sotinel

Le film est constel­lé de petits détails qui le pré­servent d’un trop grand esprit de sérieux, comme ces verres de lait aro­ma­ti­sé au chanvre indien que les person­nages sirotent à la sau­vette, ou le sou­dain pres­tige qui vient à Daya, deve­nu le nécro­logue offi­ciel de l’établissement.