Il reste encore demain / Le Rex / Nogent-le-Rotrou / 8 mars / 20 h. 30

Quand :
8 mars 2024 @ 20 h 30 min Europe/Paris Fuseau horaire
2024-03-08T20:30:00+01:00
2024-03-08T20:45:00+01:00
Où :
NOGENT-LE-ROTROU - Le Rex
26 place du 11-Août
Coût :
7,90 € (hors réductions]
Contact :
Le Rex
02 37 53 56 75

 

Le Rex [logo NOE]

 

8 mars, jour­née inter­na­tio­nale des droits des femmes

 

Il reste encore demain”

(C’è anco­ra domani)

Un film de Paola Cortellesi (2023)

 

 

Synopsis

Mariée à Ivano, Delia, mère de trois enfants, vit à Rome dans la seconde moi­tié des années 40. La ville est alors par­ta­gée entre l’espoir né de la Libération et les dif­fi­cul­tés maté­rielles engen­drées par la guerre qui vient à peine de s’achever. Face à son mari auto­ri­taire et violent, Delia ne trouve du récon­fort qu’auprès de son amie Marisa avec qui elle par­tage des moments de légè­re­té et des confi­dences intimes. Leur rou­tine morose prend fin au prin­temps, lorsque toute la famille en émoi s’apprête à célé­brer les fian­çailles immi­nentes de leur fille aînée, Marcella. Mais l’arrivée d’une lettre mys­té­rieuse va tout bou­le­ver­ser et pous­ser Delia à trou­ver le cou­rage d’imaginer un ave­nir meilleur, et pas seule­ment pour elle-même.

La bande annonce

 

L’avis de Stefano Palombari (site L’Italie à Paris)

 

 

Dès sa sor­tie au ciné­ma, le film a enchaî­né les records. En Italie, C’è anco­ra doma­ni est cham­pion de recettes avec plus de 5 mil­lions d’entrées.

Le suc­cès du public et de la cri­tique de cer­tains films demeure à mes yeux inex­pli­cable. Concernant Il reste encore demain, il y a des rai­sons objec­tives : un sujet dans l’air du temps, un scé­na­rio ori­gi­nal et bien fice­lé, le jeu impec­cable des acteurs… et sur­tout la réa­li­sa­tion. Ce qui sur­prend d’emblée est la maî­trise de la camé­ra. Un pre­mier film montre sou­vent d’évidentes fai­blesses dans la réa­li­sa­tion. Des petits défauts dus à l’inexpérience. Mais là, je dois dire qu’il n’y a rien de per­cep­tible. Tous les acteurs sont très bien diri­gés, cré­dibles, spon­ta­nés avec une men­tion spé­ciale pour l’époustouflant Valerio Mastandrea que nous sommes habi­tués à voir dans des rôles plus légers. Les dia­logues sont rapides, spon­ta­nés, sou­vent drôles. Le film, entiè­re­ment en noir et blanc, oscille entre les rires et les larmes… Deux heures qui filent et qu’on vou­drait retenir.