Marioupol, l’espoir n’est pas perdu / CinéParadis / Chartres / 26 mars / 18 h. 30

Quand :
26 mars 2024 @ 18 h 30 min Europe/Paris Fuseau horaire
2024-03-26T18:30:00+01:00
2024-03-26T18:45:00+01:00
Où :
CHARTRES - Les Enfants du Paradis
13 place de la Porte-Saint-Michel
Coût :
Gratuit
Contact :
Chartres Initiatives

Logo lumineux Les Enfants du paradis

 Entrée gra­tuite — Réservation obli­ga­toire ici

Marioupol, l'espoir n'est pas perdu [Affiche]

Marioupol, l’espoir n’est pas perdu”

Un film de Maksym Lytvynov (2022)

 

Stéphane Dalmat

Stéphane Dalmat

Olga Sansone

Olga Sansone

Après la pro­jec­tion , débat avec Olga Sansone, Ukrainienne ins­tal­lée en France depuis vingt ans, et Stéphane Dalmat, co-coor­di­na­teur de la dif­fu­sion du film en France

Présentation du documentaire

Marioupol. L’espoir n’est pas per­du est un témoi­gnage sur la guerre rus­so-ukrai­nienne des gens ordi­naires qui ont vécu à Marioupol pen­dant le pre­mier mois de l’invasion.
Le docu­men­taire est basé sur les notes de la jour­na­liste de Marioupol Nadiya Sukhorukova : elle a décrit ce qu’elle a vu autour d’elle pen­dant les bombardements.
“Ce qui m’im­pres­sionne le plus dans cette his­toire, déclare Maksym (Max) Lytvynov, le réa­li­sa­teur du film, c’est que Nadiya est une per­sonne très gen­tille et juste. Et mon objec­tif était de la mon­trer comme telle, face à l’obs­cu­ri­té qui l’en­toure du fait de cette guerre brutale”.

La bande annonce

 

Chartres Initiatives (asso­cia­tion d’en­tre­pre­neurs locaux) pré­sente  cette séance :

 

 

À l’occasion de ce triste anni­ver­saire de l’invasion de l’Ukraine (février 2022 — février 2024), nous vous pro­po­sons la projection/débat du film docu­men­taire : “Marioupol, l’es­poir n’est pas per­du ».

Ce film réa­li­sé par OUP Documentary — col­lec­tif de pro­fes­sion­nels ukrai­niens — pré­sente la réa­li­té des faits tel que la popu­la­tion locale l’a vécue. Le scé­na­rio a été écrit sur la base des notes de la jour­na­liste Nadiya Sukhorukova, habi­tante de Marioupol, et fil­mé par des came­ra­men res­tés sur place juste avant la prise com­plète de la ville.

C’est le témoi­gnage d’une des­truc­tion métho­dique de la cité et de la dif­fi­cul­té de vie des civils sou­hai­tant échap­per aux bom­bar­de­ments. Sans tom­ber dans le pathos, ce film raconte l’his­toire d’une ville où tout, sauf l’es­poir, a été détruit.

« C’est ce qui m’im­pres­sionne le plus dans cette his­toire”, déclare le réa­li­sa­teur du film, Maxim Litvynov. “Nadiya est une per­sonne très gen­tille et juste, et mon objec­tif était de la mon­trer comme telle, face à l’obs­cu­ri­té qui l’en­toure du fait de cette guerre brutale ».

Un « film artis­tique » expli­que Stéphane Dalmat, « Max Lytvynov ayant inté­gré un tableau qui, au fil du docu­men­taire, évo­lue en termes de colo­ri­mé­trie, au fur et à mesure de l’évolution de la dra­ma­tur­gie de la nar­ra­tion et de l’avancée du siège de Marioupol. »